On a tous le droit à un avocat. Vous devez avoir l’avocat qui vous convient.
La relation avec un avocat est une relation singulière, de proximité, garantie par un secret professionnel absolu. Il est l’intime de vos préoccupations, votre partenaire du quotidien. Savoir choisir son avocat est souvent déterminant. De la qualité de vos liens avec lui dépend la qualité du travail requis, et impacte parfois le résultat recherché.
L’avocat n’est pas un bien de consommation courante. Les avocats ne sont pas interchangeables. Les services qu’ils vous dispensent ne sont pas équivalents entre eux mais sont le fruit d’un travail intellectuel propre à chacun.
Le coût prévisible de l’avocat, qu’il vous paraisse faible ou élevé, n’est pas un critère de choix au risque pour vous d’aller au-devant de tristes déconvenues…
On a tous le droit à un avocat.
Vous devez avoir l’avocat qui vous convient.
Il existe une distinction entre les avocats dits « généralistes » et les avocats « spécialistes ». Les avocats dit « généralistes » n’ont pas de spécialisation et pratiquent indifféremment toute matière juridique. La variété des missions de l’avocat, l’expérience, les conduisent souvent à avoir un ou des domaine(s) de prédilection.
La plupart des avocats au bout de quelques années de pratique affinent leurs compétences et, sans être titulaires d’un certificat de spécialisation, finissent tous par avoir une (ou plusieurs) domaine(s) d’activité(s) de prédilection. La notoriété de l’avocat dans tel domaine est souvent un bon indicateur de compétence. Fiez-vous au « bouche à oreille », c’est la meilleure des publicités…
Un bon avocat est d’abord un bon juriste, il est formé pour appréhender à peu près toutes les situations, pour vous conseiller, ou vous orienter en conséquence. Dans le respect des principes déontologiques de loyauté et de délicatesse. Pour tout sujet hors de son domaine de compétence, l’avocat doit savoir décliner la mission et vous orienter vers tel de ses confrères plus compétents ou spécialisés.
Les avocats dit «spécialisés», en revanche, passent un examen pour faire reconnaître leurs compétences dans une ou plusieurs disciplines juridiques sous la forme de mentions de spécialisations.
Il existe actuellement 15 mentions de spécialisation :